Poèmes
J'ai glissé une photo de toi derrière chacune de mes paupières et c'est merveilleux. Je peux -si une graine de sable signifie l'amour j ai besoin de toutes les déserts pour te dire je t aime.
Que serais-je sans toi. Recueil : Le roman inachevé (1956) Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi sur les choses humaines Et j'ai vu désormais le monde à ta façon J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines Comme au passant qui chante on reprend sa chanson J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne Qu'il fait jour à midi qu'un ciel peut être bleu Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux Tu m'as pris par la main comme un amant heureux. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes N'est-ce pas un sanglot de la déconvenue Une corde brisée aux doigts du guitariste Et pourtant je vous dis que le bonheur existe Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues Terre terre voici ses rades inconnues. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Louis Aragon
"C'est drôle comment Tu me fais pleurer, Faites-moi ressentir Comme si je suis un mensonge. C'est drôle comment Tu me fais crier, Faites-moi ressentir Comme si j'étais un rêve. C'est drôle comment Vous faites ma douleur, Faites-moi ressentir Comme la vie est un jeu. C'est drôle comment Nous essayons de gagner ... S'il vous plaît, Ne me faites pas Cry encore. Drôle Sandra Osborne "
"Nos fêtes sont maintenant terminées Nos plaisirs sont maintenant terminés. Ces nos acteurs, Comme je vous l'ai dit, tous les esprits et Sont fondus dans l'air, dans l'air mince: Et comme le tissu sans fondement de cette vision, Les tours de capp'd des nuages, les palais magnifiques, Les temples solennels, le grand globe lui-même, Oui, tout ce qu'elle hérite dissoudra Et, comme ce spectacle insubstantiel fané, Ne laissez pas une étagère derrière. Nous sommes tellement Comme les rêves sont faits, et notre petite vie Est arrondie dans un sommeil. William Shakespeare, poète et dramaturge (baptisé le 26 avril 1564 - 1616) Note: de la Tempête (III, iv) "
"La route non prise Deux routes divergeaient dans un bois jaune, Et désolé je ne pouvais pas voyager à la fois Et être un voyageur, longtemps je me suis Et regardé en bas un aussi loin que j'ai pu Où il se penchait dans le sous-bois; Puis prit l'autre, tout aussi juste, Et ayant peut-être la meilleure réclamation, Parce qu'il était herbeux et voulait porter; Quoi qu'il en soit, le passage Les avait portés vraiment à peu près la même chose, Et ce matin-là aussi Dans les feuilles aucune étape n'avait foulé le noir. Oh, j'ai gardé le premier pour un autre jour! Pourtant, savoir comment chemin conduit sur le chemin, Je doutais si je devais revenir. Je vais le dire avec un soupir Quelquefois âges et âges: Deux routes divergent dans un bois, et I- J'ai pris le moins parcouru, Et cela a fait toute la différence."
Le soir, dans le noir, Il est des monstres qui viennent me voir Car ils espèrent bien me faire peur. Quand c'est un dragon vert Qui vient me voir Avec ses narines fumantes et son air méchant Je l'image en rose bonbon Et en caleçon à petits cœurs Quand c'est un méchant loup Qui vient me voir Avec ses griffes et ses grandes dents Je l'imagine en danseuse espagnole Avec des chaussures à claquettes et des castagnettes. Quand c'est une sorcière Qui vient me voir Avec son nez crochu et son chapeau pointu Je l'imagine en petit rat de l'opéra Avec un tutu et des ballerines. Quand c'est un ogre Qui vient me voir Avec son grand couteau et sa fourchette Je l'imagine en bébé Cadum Avec une couche et une sucette. Quand c'est un fantôme Qui vient me voir Avec son drap blanc et ses houhou Je l'imagine en costume d'Elmer A carreaux de toutes les couleurs. Le soir quand il fait tout noir Il est des monstres qui viennent me voir Mais à moi ils ne me font pas peur. Allez hop dans le placard les cauchemars ! Marie-Hélène LAFOND
Poème de Sandrine Pellegrino Ni remords, ni regrets, au naturel Ce moment présent qui est du reste temporel Ce moment passé ensemble restera malgré tout éternel Je suis sûre que c'est grâce à la magie de notre alchimie Je suis gênée des ces galimatias puisque les mots sont définis Car les sentiments de cette unification Car les mots ne peuvent traduire ces émotions Nous vivons ces moments plein de tendresse dans notre petite sphère Nous les propulsons naturellement dans tout l'atmosphère Regarde bien là haut le scintillement des étoiles Regarde tu y verras mes yeux qui t'ont admirés sans voile Je sentirai alors ton regard pour faire la même chose Je sentirai alors qu'on se retrouve en osmose Avoir croisé ton chemin, avoir entendu ta voix, Avoir senti ton odeur, et du bout des mes doigts, Avoir aussi touché ton corps, avoir goûté tes lèvres ta peau, Avoir découvert ton âme, que c'est beau, Me font dire merci à la vie Me font dire aussi merci à toi d'être venu au soleil du midi Sans regrets, ni remords, Puisqu 'au naturel je t'adore.
Dans une cachette secrète, J'ai trouvé un œuf de fête. Il est plus gros qu'une pomme, Avec son ruban sur la tête ! Un œuf tout en chocolat, Plein de surprises : Abracadabra ! Un lapin pour toi, Un poisson pour moi ! (Tradition)
La chrysalide de notre amour s'est transformée en un magnifique papillon. Il a pris son envol vers la fleur du mariage et se posera le samedi 6 février 2017 à la mairie de... à 14h30. Après avoir vu les yeux papillotants de Cindy et Alexandre se dire le "oui" définitif, il battera ensuite des ailes pour nous emmener à la salle du Bonheur pour partager le vin d'honneur.
Matin d’octobre C’est l’heure exquise et matinale Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. On peut les suivre Du regard en reconnaissant Le chêne à sa feuille de cuivre, L’érable à sa feuille de sang. Les dernières, les plus rouillées, Tombent des branches dépouillées ; Mais ce n’est pas l’hiver encore. Une blonde lumière arrose La nature, et, dans l’air tout rose, On croirait qu’il neige de l’or. François COPPÉE (1842-1908) Le Cahier rouge
Ne jamais être mauvais La douleur que vous avez, je guérirai, Tout ce que vous voulez, je peux faire, Je peux te rendre heureux, je peux te rendre triste, Mais tout ce que vous faites ne sera jamais mauvais. Colton marshall "
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