Poèmes
Je n'ai personne à qui embrasser Vos câlins, je regrette Je ne sens pas ton toucher tu me manques beaucoup Reprends moi Changez votre position S'il vous plaît donner mon coeur Juste une chance de plus Je t'aime"
"Peut être Halloween Yowling, rôdeur, chat grondant Pourquoi tu changes ta queue comme ça? Pourquoi vos yeux flash or et vert? Peut-être - doit être - Halloween! Slinky, chatte d'encre, blinky, Pourquoi arqué-tu ton dos comme ça? Quelles créatures effrayantes avez-vous vu? Peut-être - doit être-Halloween! "
Printemps Il y a, sur la plage, quelques flaques d'eau. Il y a, dans les bois, des arbres fous d'oiseaux. La neige fond dans la montagne. Les branches des pommiers brillent de tant de fleurs Que le pâle soleil recule. C'est par un soir d'hiver, Dans un monde très dur, Que tu vis ce printemps, Près de moi, l'innocente. Il n'y a pas de nuit pour nous. Rien de ce qui périt, n'a de prise sur moi Mais je ne veux pas avoir froid. Notre printemps est un printemps qui a raison. Paul Éluard
"Son jouney vient de commencer Ne pense pas qu'il soit parti Son voyage vient de commencer, La vie tient tant de facettes Cette terre n'est qu'une. Pensez à lui comme un repos Des peines et des larmes Dans un endroit de chaleur et de confort Où il n'y a pas de jours et d'années. Pensez qu'il doit souhaiter Que nous pourrions savoir aujourd'hui Comment rien mais notre tristesse Peut vraiment disparaître. Et pensez à lui comme vivant Dans le cœur de ceux qu'il a touchés ... Car rien d'aimé n'est jamais perdu Et il était tellement aimé. Ellen Brenneman "
Titre : Pour toujours ! Poète : François Coppée (1842-1908) Recueil : Le cahier rouge (1892). L'espoir divin qu'à deux on parvient à former Et qu'à deux on partage, L'espoir d'aimer longtemps, d'aimer toujours, d'aimer Chaque jour davantage ; Le désir éternel, chimérique et touchant, Que les amants soupirent, A l'instant adorable où, tout en se cherchant, Leurs lèvres se respirent ; Ce désir décevant, ce cher espoir trompeur, Jamais nous n'en parlâmes ; Et je souffre de voir que nous en ayons peur, Bien qu'il soit dans nos âmes. Lorsque je te murmure, amant interrogé, Une douce réponse, C'est le mot : – Pour toujours ! – sur les lèvres que j'ai, Sans que je le prononce ; Et bien qu'un cher écho le dise dans ton cœur, Ton silence est le même, Alors que sur ton sein, me mourant de langueur, Je jure que je t'aime. Qu'importe le passé ? Qu'importe l'avenir ? La chose la meilleure, C'est croire que jamais elle ne doit finir, L'illusion d'une heure. Et quand je te dirai : – Pour toujours ! – ne fais rien Qui dissipe ce songe, Et que plus tendrement ton baiser sur le mien S'appuie et se prolonge ! François Coppée.
Dans le fond du couloir Tu t'es cacher dans le noir Tu as eut cette envie De mettre fin à ta vie Tu avais des accessoires Des pillules et une lame de rasoir Tu as entendu du bruit Alors tu t'es enfuie Tu es allé sur ton lit Mis la musique au maxi Tes cris n'allaient pas s'entendre Et tu as lever ton bras pour le tendre Tu as pris la lame Ta main faisais que de tremblée C'est quand est tomber une larme Que tu as tout arrêter Cette larme symbolisée la vie Que tu n'étais pas prête A ce que tout soit finis Et à ce que ton existence s'arrête
Je ne suis pas un poète Je ne suis pas écrivain Mais mes sentiments sont comme tous les autres Mais il n'y a personne pour les entendre Seulement ce pad électronique qui se souviendra de mes cicatrices Ceux qui ne peuvent pas être guéri dans n'importe quel sens Seulement avec le changement, l'amour et la vérité Ces trois choses n'ont jamais existé Seulement 3 ans et 2 mois se sont écoulés et mon coeur n'est plus là Cet espace vide a été pris par la douleur, les doutes et les larmes par la peur Je ne pense pas qu'il y aura jamais ou existera quelqu'un qui se soucie vraiment Car il ne se soucie plus d'être heureux ou pas Et ses actions ont beaucoup changé Il n'est pas le même et il semble qu'il n'a pas l'intention d'être Mon coeur en 1000 morceaux est tombé en morceaux C'est juste que c'est quelque chose qu'il ne peut pas voir "
Tu sais que je suis triste sans toi, je suis malade quand je ne te vois pas, je pleure quand on ne se parle pas. Mon bébé ne m'abandonne jamais, tu vois combien je souffre sans toi.
«Comment puis-je t'aimer? Je t'aime à la profondeur et la largeur et la hauteur Mon âme peut atteindre, quand sentiment hors de la vue Pour les fins de l'Être et la grâce idéale. Je t'aime au niveau de tous les jours Besoin le plus calme, par le soleil et la lumière des bougies. Je t'aime librement, comme les hommes l'entendent pour Droit; Je t'aime purement, comme ils se détournent de la louange. Je t'aime avec une passion mise à profit Dans mes vieux chagrins, et avec la foi de mon enfance. Je t'aime avec un amour que je semblais perdre Avec mes saints perdus, - je t'aime avec le souffle, Sourires, larmes, de toute ma vie! - et, si Dieu le veut, Je vous aimerai mieux après la mort.
"La chasse Oh comment les adultes aiment les cacher tous Ces œufs colorés, grands et petits Nous les recherchons comme un détective de New York Trouver chacun d'eux est notre objectif Où peuvent-ils être? Ils sont bien cachés Nous sommes perplexes Cette chasse est gonflée Ne vous fâchez pas! Enfin, nous les avons trouvés Ils ne pouvaient pas cacher Nous les rassemblons Et poutre avec fierté "
Le Père Noël se fait tout beau Car il doit conduire son traîneau Avec ses rennes La nuit prochaine. Les enfants attendent Que le Père Noël descende Du ciel Avec la Mère Noël, Qui va l'aider A distribuer Ses cadeaux Et danser le tango Ou le flamenco Olé !
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