Poèmes - «Je suis inspiré par…

«Je suis inspiré par les pensées Cette course dans ma tête. Je suis inspiré par les émotions De mon coeur, quand cassé. Je suis inspiré par les amis Qui me tient par les temps difficiles. Je suis inspiré par le monde Quand il se réveille sous une couverture de rosée. Je suis inspiré par mon amour Pour une fille, loin, qui a capturé ma vie. Voilà mon inspiration. (Dédié à tout ce qui m'inspire) Inspiration James Grengs "

Poèmes d'inspiration

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Pensées noires Mes mots sont noirs Tu me dis triste Pensées désespoir Et qui t 'attriste Ton attention me touche Mon coeur blessé Ta parole retouche Un texte édité Sourire tu demandes Texte plus bleu tu voudrais Jeu de lettres tu inventes Sur le visage un rictus renait La nature est ainsi Mon âme a souffert Et sur mes envies Le noir est offert Oublier un moment Sans doute est faisable Mais toujours le présent De larmes est déplorable.

«Hiver, hiver, hiver, Quand partez-vous. Je l'aime quand vous neige, mais je déteste quand vous restez. Au début, je commence à jouer, jusqu'à la fin de la journée. Mais quand la neige devient dure, je veux que vous partiez. Hiver Hiver Samuel Earle "

"" "Comme je suis chanceux d'avoir quelque chose Ça fait dire au revoir si fort "" ~ Winnie l'Ourson "

Bonne fête maman Quand je grimpe à l'échelle du bonheur Tout en haut, il y a une fleur Une fleur en forme de coeur A-t-on jamais vu ça ? Elle est en toi Maman Quand je suis tout au fond de tes bras

«Du sommeil de ma mère, je suis tombé dans l'État, Et je me penchai dans son ventre jusqu'à ce que ma poil mouillé se fige. A six milles de la terre, détaché de son rêve de vie, Je me suis réveillé à la flak noire et les combattants de cauchemar. Quand je suis mort, ils m'ont lavé de la tourelle avec un tuyau. La mort de l'artilleur de la tourelle à billes Randall Jarrell "

"Si les larmes pouvaient construire un escalier, Et des souvenirs une voie, je marchais Juste au ciel et vous apporter À la maison.

melody : Un beau jour, il y a 13 ans, J'ai ouvert les yeux, Sur le plus merveilleux Des visages. Le tien, maman. Depuis ce jour, tu n'as eu de cesse De me combler, de me chérir, De me couvrir de tendresse. A mon tour, je veux te dire, Combien je t'aime et te remercie Pour ton amour, ta bonne humeur, Toutes ces berceuses, la nuit Lorsque le noir me faisait peur. ....... Maman, je t'aime du haut de mes 13 ans Tout simplement......

J’ai trouvé un bel œuf J’ai trouvé un bel œuf bleu bleu comme une rivière, bleu comme le ciel le lapin l’avait caché dans l’herbe du pré. J’ai trouvé un bel œuf jaune jaune comme de l’or, jaune comme un canari le lapin l’avait caché derrière un pommier. J’ai trouvé un bel œuf blanc Blanc comme la neige, Blanc comme le muguet Il était au poulailler, alors moi, je l’ai mangé ! Maurice Coyaud

Ma petite soeur, Toi et ton grand cœur, Je ne pourrais vivre sans vous, Puisque pour moi vous, comptez plus que tout. Tu ne m’as pas réclamé de poème, Mais celui ci t’es destiné, Pour te dire combien je t’aime, Ma petite soeur adorée. Tu m’as beaucoup aidé, Je t’ai beaucoup écouté, A jamais nous sommes liés, Non par les liens du sang mais ceux de l’amitié. Nous n’étions que de simples amies, Mais nous nous ressemblons tellement, Que tu fais maintenant partie de ma famille, Ma petite soeur que j’aime follement. Ma petite soeur, Toi qui tiens une grande place dans mon cœur, Toi qui est belle comme une fleur, N’hésite pas à m’appeler quand tu pleures. Tu sais que je serais toujours là pour toi, Ma petite soeur, ma Christelle, Et que tu pourras toujours compter sur moi.

Michel Bec L’automne a passé le flambeau A l’hiver. Un poisseux ciel gris Que déjà la nuit assombrit Pèse lourdement sur les Baux. Le village est vide, et le vent Y mène sa danse infernale : Assourdissante bacchanale Du mistral qui court droit devant Comme un centaure sans raison Tonitruant dans les venelles. La débandade habituelle D’une morne et triste saison ! Te rappelles-tu l’an dernier Quand l’on y fit une balade, Poussés dans notre promenade Par ce vent fou qui ricanait ? Il y faisait si froid alors Que ton doux visage était pâle, Pâle comme l’anneau d’opale Auréolant le croissant d’or De la lune accrochée au ciel. Les vieilles maisons du village, Bastides grises d’un autre âge, Etaient éclaboussées du miel De la ténébreuse lueur. Le vent tordait ta chevelure Qui dansait comme une voilure Autour de ton visage en cœur… Les Baux sont tristes en hiver. Tu n’es plus là, tu t’es perdue Dans une existence éperdue… Dis, n’ai-je point assez souffert ? Peut-être un jour reviendras-tu ? Je t’attends rue de la Calade Où l’infernale cavalcade Du vent dévale à qui veux-tu….

Sans vous, les plus brillants Des étoiles semblent morne Sans toi, le plus heureux Des moments semblent…

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