Poèmes
Je t'ai aimé, toujours je t'aime Tu es, ma joie... mon poème Mon illusion... mon bourreau Ma destinée, mon rêve le plus beau.
Il y a un autre ciel, Jamais sereine et juste, Et il ya un autre soleil, Quoiqu'il y ait des ténèbres; Peu importe les forêts fanées, Austin, Peu importe les champs silencieux - Voici une petite forêt, Dont la feuille est toujours verte; Voici un jardin plus lumineux, Où pas un gel a été; Dans ses fleurs immortelles J'entends le bourdonnement lumineux de l'abeille: Prithee, mon frère, Dans mon jardin, viens!
Sur des littoraux de tendresse, à l'étendue de leurs promesses, un océan de bonheur et d'amour, sera leur bagage pour toujours.
la distance nous sépare depuis longtemps chaque jour c est le même refrain incessant vivre son quotidien l une sans l autre inlassablement nourrir l espoir dans son cœur de se voir rien qu'un instant mon amie tu me manques tant Il me faudrait une baguette magique pour changer le présent dans un brassée d étincelles j arriverais comme par enchantement . Nous parlerions toute la nuit jusqu'à épuisement découvrant sans cesse l autre avec émerveillement mon amie tu me manques tant la sonnerie du téléphone se tait trop souvent j aimerais entendre ta voix plus régulièrement de me sentir si loin mon cœur est en proie au déchirement existe t il su terre plus pur sentiment mon amie tu me manque tant lorsque par temps gris , dehors souffle le vent mes pensées vont vers toi spontanément , mon moral aussi baisse inévitablement je me dis que j aimerais avec toi partager mes tourments mon amie, chaque jour tu me manques tant
"Quand la lumière tombe les soirs d'hiver Et la rivière ne fait pas de bruit dans son passage Derrière la maison, il est silencieux mais pour son froid Circuler, ses roseaux gelés plus rigides que le verre Comment peut-on anticiper l'aube, un soudain Briller de la lumière du soleil dégelant le ciel le plus dur? Comment ne pas se souvenir des soirées d'été? Ne doit pas couler le cœur fatigué et ne pas craindre Morsure, comme un acide, rides dans sa pierre? Derrière les rideaux tendus, regardant le feu, Pensez à la façon dont la terre tourne muette et liée Par des chaînes de fer de givre à travers la mort - l'air tranquille; Et comment dans chaque rue les fenêtres scellées Et des cubes orange de feu, comment dans les maisons Cuckoo-horloges imitent le printemps, les bougies sont Soleils. L'hiver perpétuel jamais connu, Les familles se réchauffent les mains et attendent, ni N'oubliez jamais la transitoire de la saison. Perpétuel hiver jamais connu David Gascoyne "
Titre : À l'amour Poète : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) Recueil : Élégies (1830). Reprends de ce bouquet les trompeuses couleurs, Ces lettres qui font mon supplice, Ce portrait qui fut ton complice ; Il te ressemble, il rit, tout baigné de mes pleurs. Je te rends ce trésor funeste, Ce froid témoin de mon affreux ennui. Ton souvenir brûlant, que je déteste, Sera bientôt froid comme lui. Oh ! Reprends tout. Si ma main tremble encore, C'est que j'ai cru te voir sous ces traits que j'abhorre. Oui, j'ai cru rencontrer le regard d'un trompeur ; Ce fantôme a troublé mon courage timide. Ciel ! On peut donc mourir à l'aspect d'un perfide, Si son ombre fait tant de peur ! Comme ces feux errants dont le reflet égare, La flamme de ses yeux a passé devant moi ; Je rougis d'oublier qu'enfin tout nous sépare ; Mais je n'en rougis que pour toi. Que mes froids sentiments s'expriment avec peine ! Amour... que je te hais de m'apprendre la haine ! Eloigne-toi, reprends ces trompeuses couleurs, Ces lettres, qui font mon supplice, Ce portrait, qui fut ton complice ; Il te ressemble, il rit, tout baigné de mes pleurs ! Cache au moins ma colère au cruel qui t'envoie, Dis que j'ai tout brisé, sans larmes, sans efforts ; En lui peignant mes douloureux transports, Tu lui donnerais trop de joie. Reprends aussi, reprends les écrits dangereux, Où, cachant sous des fleurs son premier artifice, Il voulut essayer sa cruauté novice Sur un coeur simple et malheureux. Quand tu voudras encore égarer l'innocence, Quand tu voudras voir brûler et languir, Quand tu voudras faire aimer et mourir, N'emprunte pas d'autre éloquence. L'art de séduire est là, comme il est dans son coeur ! Va ! Tu n'as plus besoin d'étude. Sois léger par penchant, ingrat par habitude, Donne la fièvre, amour, et garde ta froideur. Ne change rien aux aveux pleins de charmes Dont la magie entraîne au désespoir : Tu peux de chaque mot calculer le pouvoir, Et choisir ceux encore imprégnés de mes larmes... Il n'ose me répondre, il s'envole... il est loin. Puisse-t-il d'un ingrat éterniser l'absence ! Il faudrait par fierté sourire en sa présence : J'aime mieux souffrir sans témoin. Il ne reviendra plus, il sait que je l'abhorre ; Je l'ai dit à l'amour, qui déjà s'est enfui. S'il osait revenir, je le dirais encore : Mais on approche, on parle... hélas ! Ce n'est pas lui ! Marceline Desbordes-Valmore.
Tu es ma sœur Et je t'aime. A toi je me confis et A moi tu te confis. Tous ces moments passés ensemble Vont-ils continuer a exister? En tout cas je l'espère . Parce que je t'aime et je pense que toi aussi et , Nous deux c'est pour la vie... je t'aime.2.
"L'AMOUR VRAI EST UNE FLAMME SAGRÉE QUI BRÛLE ÉTERNELLEMENT, ET NON PEUT DIMINER SON FLAMME SPÉCIAL OU CHANGER SON DESTIN. L'AMOUR VRAI PARLE EN TONALITÉS Et entend avec l'oreille douce, L'AMOUR VRAI donne du coeur ouvert Et l'amour vrai conquiert la peur. "
"Réflexion Ils ont tenu une place dans de nombreuses traditions Maintenant, ils sont au centre de tous les chrétiens Symbole de la résurrection Un tout nouveau départ et un temps de réflexion Ils sont imprégnés d'images religieuses, Mais signifient des choses différentes pour toi et moi Ils sont complexes et merveilleusement conçus Avec des couleurs et des symboles bien définis Mais une chose est certaine, une chose est vraie Ils sont aimés par les enfants à travers et par "
Et mes compagnons de batailles Qui m'ont suivi dans les combats, Sont-ils revenus au bercail ? De tant d'amis, ne me parlez-vous pas ?
Nos chemin se sont croisé Pourtant sa n'aurais jamais du arriver Mais tu es devenue ma meilleur amie Pour toi j'aurais fais n'importe quoi Toi je t'apprécie comme tu es Mais toi tu me fais souffrir Parce que toi tu te moques de moi tu ne le vois pas mais tu deviens méchante avec moi... Et moi je dis rien parce que j'ai peur de te perdre Seulement cela ne peu plus durer... Alors je t'en supplie rend toi compte du mal que tu fais ... Parce que toi et moi c'était forever... Mais j'ai peur que cela devienne never... Voilà à toi une amie qui m'est très chère...
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