Poèmes
La vieille femme qui a vécu dans une chaussure Il y avait une vieille femme qui vivait dans une chaussure, Elle avait tant d'enfants qu'elle ne savait pas quoi faire; Elle leur donna du bouillon sans pain, Les embrassa tous et les envoya au lit.
Tu es ma rhapsodie La plus belle mélodie de la vie Vous êtes ma précieuse possession La révélation la plus précieuse de la vie Tu rends ma vie parfaite Pour vous, je n'ai que du respect Vous êtes une sœur précieuse de la mienne A cause de toi, la vie est belle Je t'aime"
«Soyez heureux que votre nez est sur votre visage, Pas collé sur un autre endroit, Car si elle était là où elle ne l'est pas, Vous pourriez ne pas aimer votre nez beaucoup. Imaginez si votre précieux nez Ont été pris en sandwich entre vos orteils, Que clairement ne serait pas un régal, Car vous seriez forcés de sentir vos pieds. Votre nez serait une source de crainte Était-il attaché sur votre tête, Il vous conduira bientôt au désespoir, Toujours chatouillé par vos cheveux. Dans votre oreille, votre nez serait Une catastrophe absolue, Car lorsque vous étiez obligé d'éternuer, Votre cerveau hochette de la brise. Votre nez, au lieu, à travers épaisse et mince, Reste entre vos yeux et le menton, Pas collé sur un autre endroit-- Soyez heureux que votre nez soit sur votre visage!
Depuis six mille ans la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtant aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, Les victoires, Voilà notre grand amour; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants, Met toutes les pauvres mères Et tous les petits enfants. Notre bonheur est farouche; C'est de dire : Alons ! mourons ! Et c'est d'avoir à la bouche La salive des clairons. L'acier luit, les bivouacs fument; Pâles, nous nous déchaînons; Les sombres âmes s'allument Au lumières des canons. On pourrait boire aux fontaines, Prier dans l'ombre à genoux, Aimer, songer sous les chênes. Tuer son frère est plus doux. On se hache, on se harponne, On court par monts et par vaux. L'éprouvante se cramponne Du poing aux crins des chevaux. Et l'aube est là sur la plaine ! Oh ! j'admire, en vérité, Qu'on puisse avoir de la haine Quand l'alouette a chanté. Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois.
"Il est un héros Pas par l'âge ordinal de frère, Ni par le destin. Il n'a pas choisi Quoi qu'il devienne. Tu vois . . . Son père se mit à boire De la fortune, de la famille et du prestige, Droit dans le néant Des rues. Froid et immobile, Sans personne Pour réclamer ce qui restait, Un camion citernes L'ont emmené à la tombe. Pas n'importe quelle puissance plus grande que lui Mais le Seigneur seul, Conduit le héros au succès et . . . Loin de l'alcool. Le héros de la famille alcoolique A. Albert Aguero "
"L'amitié à l'école Les amis du lycée sont toujours jeunes. Inchangés, ils sont là où vous allez toujours appartenir. La foule n'est jamais partie, le plaisir reste, La musique du moment joue toujours, Le temps reste un champ de gracieuse grâce À laquelle vous pouvez revenir de n'importe où. Bien sûr, vous pouvez toujours les connaître plus tard Lorsque vous êtes quelqu'un d'autre et les années ont couru; Et vous pouvez les aimer chèrement, et ils vous, Mais le temps doit rendre leur amitié quelque chose de nouveau. Pendant ce temps, florissant dans votre cœur Il y a un tout dont vous faisiez partie: Un groupe d'amis, un dans l'amour et la douleur, En qui votre désir revivifie.
Loin des yeux, loin du coeur. Ce proverbe est bien menteur, car malgré la distance c'est a toi que je pense !
Poème de Justine Ma petite maman Petite maman Durant toute ta vie, tu t'es battu face a l'injustice Tu as mené un combat de front avec comme seul allié : papa Maintenant qu'il n'est plus là, je te voit te démener pour me donner une vie meilleure Beaucoup de malheurs en si peu de temps et toi tu es toujours là, tu veilles
"L'hiver est proche, Lorsque vous assistez à la migration, Grenouilles, serpents et chauves-souris, Se préparer à l'hibernation. Le tout premier, Coups de froid, Sont rencontrés avec des sourcils, Et le manque de sensations fortes. Nous nous adaptons progressivement, Accepter l'état d'hivers, Il est inutile, De s'asseoir et d'attendre. Les vacances s'enflamment, Avec précipitation et acclamation, Nous le dépensons avec ceux, Qui sont vraiment chères. Janvier offre, Résolutions à gogo. Mais sont de courte durée, Car ils semblent comme une corvée. Trop proche de la dépression, Nous devenons fatigués par le gel. La moindre chaleur, Et nous sommes exubérants intrigué. Enfin, elle permet, Elle-même à fondre, Le printemps n'exige pas, Les hivers ne saisissent ni la ceinture. Par anitapoems.com "
Leur esprit voyageait là-bas : Point de lettre qui les rassure ! Quand les enfants sont au combat ! Pour les mères tout est blessure !
"abréviation Gros coup de nez inattendu Ils l'appellent un BUN #a Abréviation drôle Samanyan Lakshminarayanan "
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