"L'hiver est proche, Lorsque vous assistez à la migration, Grenouilles, serpents et chauves-souris, Se préparer à l'hibernation. Le tout premier, Coups de froid, Sont rencontrés avec des sourcils, Et le manque de sensations fortes. Nous nous adaptons progressivement, Accepter l'état d'hivers, Il est inutile, De s'asseoir et d'attendre. Les vacances s'enflamment, Avec précipitation et acclamation, Nous le dépensons avec ceux, Qui sont vraiment chères. Janvier offre, Résolutions à gogo. Mais sont de courte durée, Car ils semblent comme une corvée. Trop proche de la dépression, Nous devenons fatigués par le gel. La moindre chaleur, Et nous sommes exubérants intrigué. Enfin, elle permet, Elle-même à fondre, Le printemps n'exige pas, Les hivers ne saisissent ni la ceinture. Par anitapoems.com "