Poèmes
Poème de M-Morgane-A Je cherche Je cherche mes mots, ça ne m’ai jamais arrivé, Que ce passe-t-il, ou je vais, Est-ce l’amour qui m’anéantit, Est-ce l’amitié qui m’anesthésie,
«Je sens le Printemps loin, loin, Le faible parfum lointain de bourgeon et de feuille - Oh, comment le printemps peut-il prendre le coeur à venir Pour un monde en deuil, Douleur profonde? Le soleil tourne au nord, les jours grandissent, Plus tard, l'étoile du soir devient plus lumineuse - Comment la lumière du jour peut-elle persister Pour les hommes à combattre, Encore se battre? L'herbe se réveille dans le sol, Bientôt il se lèvera et soufflera dans les vagues - Comment peut-elle avoir le coeur à balancer Sur les tombes, De nouvelles tombes? Sous les branches où les amants marchent Les fleurs de pomme vont verser leur souffle - Mais qu'est-ce que de tous les amoureux maintenant Partagé par la mort, Mort grise? Le printemps en temps de guerre Sara Teasdale "
"Un dur travail Merci pour votre travail acharné et votre dévouement, J'espère que vous êtes sentiment d'orgueil et d'exaltation. Grâce à votre enthousiasme vous avez appris, Nous vous remercions. Pour travailler avec, vous êtes un vrai plaisir, Vos compétences croissantes sont plus que des trésors. Vous ne vous asseyez jamais, discutez, et vous plaindre, Pensée de vos collègues, pas seulement le gain propre. Exemple pour les autres, un signe clair, Au travail, vous savez briller. Nous tenons à vous remercier encore une fois, Vos réalisations sont clairement une dizaine."
Titre : Le serment Poète : Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) Recueil : Romances (1830). Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S'accorde à mon désir ? Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Donne-moi l'espérance ; Je te l'offre en retour. Apprends-moi la constance ; Je t'apprendrai l'amour. Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Sois d'un cœur qui t'adore L'unique souvenir ; Je te promets encore Ce que j'ai d'avenir. Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Vers ton âme attirée Par le plus doux transport, Sur ta bouche adorée Laisse-moi dire encor : Comme je t'aime en mes beaux jours, Je veux t'aimer toujours. Marceline Desbordes-Valmore.
L'étoile qui file Poète : Sophie d'Arbouville (1810-1850) Recueil : Poésies et nouvelles (1840). Petite étoile, au sein des vastes cieux, Toi que suivaient et mon cœur et mes yeux, Toi dont j'aimais la lumière timide, Où t'en vas-tu dans ta course rapide ? Ah ! j'espérais que, dans ce ciel d'azur, Du moins pour toi le repos était sûr. Pourquoi t'enfuir, mon étoile chérie ? Pourquoi quitter le ciel de ma patrie ? Mon cœur connut le bonheur et l'amour : Amour, bonheur, tout n'a duré qu'un jour. Près d'un ami, je cherchai l'espérance... Et mon ami m'oublia dans l'absence ! Le cœur brisé, j'aimais encor les fleurs, Quand je les vis se faner sous mes pleurs ; Au ciel alors, pour n'être plus trahie, J'avais aimé.... l'étoile qui m'oublie ! Adieux à toi, belle étoile du soir ! Adieux à toi, toi, mon dernier espoir !... Errante au ciel comme moi sur la terre, En d'autres lieux va briller ta lumière. Rien n'est constant pour moi que la douleur, Rien ici-bas n'a voulu de mon cœur ; Autour de moi, tout est sombre et se voile, Et tout me fuit... même au ciel, une étoile ! Sophie d'Arbouville.
Ce qui nous relie et moi Est plus qu'un simple cordon ombilical Nous avons une connexion Ce qui est fait par le Seigneur Ce qui nous unit Est-ce plus que de la biologie? Merci d'être une merveilleuse mère Tu es tout pour moi"
L'enfance passe, la jeunesse la remplace, la vieillesse prend sa place, la mort les ramassent. Mais seul les souvenirs de bons amis restent a leurs places!
Douleur. Recueil : Ballades et romances (1875) Depuis les maux de mon enfance J'ai supporté bien des douleurs ; J'ai souvent, sans verser des pleurs, Dit adieu, même à l'espérance. Contre la dure adversité Je luttais, rempli de courage ; Je croyais avoir en partage Une invincible fermeté. Et j'aimais à penser qu'une âme généreuse Peut braver la fortune et jamais ne plier ; Mais je t'ai vue hier souffrante, malheureuse, Et je me suis pris à pleurer. Pierre Grolier.
"Les mots horribles que j'ai dit Je ne peux pas en prendre de toute façon Toutes ces choses que j'ai prononcées Je regrette maintenant Les erreurs que j'ai commises Ne peut pas être effacé de votre mémoire Mais au moins je peux faire un début En faisant des excuses honnêtes Désolé maman"
"À mesure que les années se durcissent Faire les choix Devrais-je m'écouter Ou écouter les voix Depuis plus de trois ans Le football a été mon truc J'ai traité de l'échec J'ai poussé à travers la piqûre Mais maintenant je vieillis Les classes ont besoin d'attention Le football devrait être fait Mais je twitch à la mention Le football est une douleur C'est perdre ce qui était amusant Je veux quitter, je fais Mais je ne suis pas tout fait J'ai été le pire Pas du tout bon Maintenant cela pourrait changer Mais pour monter, il faut tomber Si je m'arrête, je ne peux pas commencer Si je commence je ne peux pas arrêter Je suis toujours au fond Oh si loin du sommet Si je quitte maintenant, Je ne peux pas recommencer Je tomberai loin derrière Il n'y a aucun moyen de gagner mal Mais si je continue Mes notes peuvent glisser Et ce n'est même pas amusant Donc je dois obtenir une poignée Bien si je joue Ou je tombe en morceaux Le football restera Quelque part dans mon coeur Aaron Fullbright "
Loin des yeux, loin du coeur. Ce proverbe est bien menteur, car malgré la distance c'est a toi que je pense !
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